La Boîte à Graines
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Questions fréquentes

Produits et variétés

  • Comment cuisiner des ocas du Pérou ?

    Les ocas du Pérou sont des tubercules originaires des Andes, avec une texture légèrement croquante et un goût doux, un peu acidulé qui devient plus sucré après cuisson.

    Ils se prêtent à de nombreuses préparations : rôtis, sautés, en purée, ou même marinés.

  • Comment cultiver des physalis dans mon jardin ?

    Les physalis, également connus sous le nom de coqueret du Pérou, amour en cage ou lanterne japonaise (bien que ce dernier désigne souvent une espèce ornementale), sont des plantes du genre Physalis, appartenant à la famille des Solanacées (comme la tomate et l’aubergine). Les physalis produisent de petits fruits ronds et sucrés-enveloppés dans une calice en forme de lanterne. Il existe des variétés comestibles au goût sucré, doux ou acidulé (Physalis peruviana, Physalis ixocarpa, Physalis pruinosa…) et des variétés ornementales moins consommée car parfois amère (Physalis alkekengi).

    Les physalis apprécient les climats tempérés à chaud, une exposition en plein soleil ou en mi-ombre et un sol léger, bien drainé et riche en matière organique.

    Les semis se réalisent en intérieur au printemps, puis la plantation doit se faire en pleine terre en mai lorsque les gelées ne sont plus à craindre. Il est conseiller de pailler le sol pour éviter que les fruits tombés au sol ne pourrissent. Ils se récoltent ou se ramassent au sol lorsque les calices sont jaunes et séchés.

    Ce fruit est riche en Vitamines A, C et antioxydants. Il est faible en calories et favorise la digestion et renforce le système immunitaire.

    Précautions : Les feuilles et les calices sont toxiques car riches en alcaloïdes. Seul le fruit bien mûr est comestible. Certaines variétés (comme Physalis alkekengi) ne doivent pas être consommées crues.

    Les physalis sont parfaits pour ajouter une touche exotique au potager ou à vos plat !

  • Quelles céréales cultiver au potager?

    Cultiver des céréales au potager est une idée intéressante pour diversifier les cultures. Voici quelques céréales adaptées à un jardin potager :

    • le blé, une céréale polyvalente, utilisée pour la farine ou comme fourrage, aime les sols bien drainés et une exposition ensoleillée. Il nécessite un désherbage régulier et arrosage léger en cas de sécheresse​.
    • le maïs, pour une consommation en épis (maïs doux) ou grains (maïs grain).
    • l’avoine, une culture peu exigeante, résistante au froid pour alimentation humaine ou animale.
    • l’orge, utilisée pour la bière, les soupes ou comme fourrage, peux se semer à l ‘automne ou au printemps.
    • le millet, parfait pour les climats chauds et secs, ses graines sont comestibles pour les humains et les oiseaux.
    • le sarrasin, c’est une pseudo-céréale (famille des polygonaceae). Idéal pour les sols pauvres, il se sème au printemps ou à l’été et peux se récolter pour faire de la farine.
    • le quinoa, est également une pseudo-céréales, riche en protéines et sans gluten, il est très résistant à la sécheresse et aux maladies.
    • le sésame, est également une pseudo-céréales (famille des pedaliaceae), résistant à la sécheresse, ses graines se consomment dans les salades, dans les pâtisserie, en boulangerie.
    • l‘amarante, de la famille des amaranthaceae, produit une multitude de petites graines, riche en protéines. C’est une plante très peu exigeante et résistante à la sécheresse.
    • le sorgho, pour tous type de sol et exposition ensoleillé, se consomme comme le riz ou bien en farine. C’est une plante résistante à la sécheresse.

    Pour cultiver les céréales au potager :

    • Laissez de l’espace entre les rangs pour faciliter l’aération.
    • Alternez les céréales avec des légumineuses pour enrichir le sol en azote
    • Récoltez lorsque les grains sont mûrs et secs.

    Ces cultures sont non seulement productives mais aussi décoratives, grâce à leurs épis élégants!

  • Comment cultiver du maïs au potager ?

    La culture du maïs est relativement simple, mais elle demande une bonne planification.

    Pour réussir sa culture il faut choisir une variété de maïs adaptée au climat et à l’utilisation prévue (consommation humaine, farine, alimentation animale, etc.). Les variétés précoces sont adaptées aux régions froides, tandis que les variétés tardives conviennent mieux aux climats chauds​.

    Le maïs préfère un sol riche, bien drainé et légèrement acide (pH entre 6 et 7). Un apport de compost ou de fumier bien décomposé améliore la fertilité du sol​.

    La période de semis se situe en avril ou mai, une fois que les risques de gel sont écartés. Si nécessaire, réchauffez le sol avec un tunnel en plastique avant le semis.

    Il est préférable de planter en carré (plutôt qu’en rangées) pour maximiser la pollinisation par le vent. Espacez les graines de 25-30 cm sur des lignes distantes de 70 cm​.

    Le maïs a ensuite besoin d’eau régulièrement, surtout pendant la floraison et la formation des épis.

    La récolte se fait environ 3 mois après le semis, lorsque les grains sont bien formés et que la peau des épis commence à sécher. Pour le maïs doux, récoltez plus tôt, avant que les grains ne durcissent​.

    En suivant ces conseils, vous pourrez cultiver du maïs en optimisant votre rendement tout en respectant les cycles naturels de la plante.

  • Comment cuisiner le radis Daikon ?

    Le radis daikon, avec sa texture croquante et son goût légèrement sucré et poivré, est très polyvalent. Il peut être utilisé cru en salade, en soupe miso, en pickles ou cuit en ragoût ou gratin.

    Salade de daikon râpé :

    Ingrédients : Daikon râpé, carottes râpées, coriandre, sésame, vinaigre de riz, huile de sésame, sauce soja, un peu de miel.

    Préparation : Mélangez les légumes. Préparez une vinaigrette avec les ingrédients liquides et le miel, puis mélangez avec les légumes. Ajoutez des graines de sésame pour le croquant.

    Soupe miso au daikon :

    Ingrédients : Bouillon dashi, pâte miso, daikon en fines tranches, tofu, wakame (algues séchées), ciboulette.

    Préparation : Faites cuire les tranches de daikon dans le bouillon dashi. Ajoutez le miso dilué, le tofu et les algues. Servez chaud avec un peu de ciboulette.

    Pickles de daikon (takuan) :

    Ingrédients : Daikon, sel, sucre, vinaigre de riz, curcuma (pour la couleur jaune).

    Préparation : Coupez le daikon en rondelles ou en bâtonnets. Mélangez avec les autres ingrédients et laissez mariner au réfrigérateur pendant au moins 24 heures.

    Ragoût japonais au daikon (Oden) :

    Ingrédients : Bouillon dashi, daikon en tranches épaisses, œufs durs, boulettes de poisson, tofu frit, konjac.

    Préparation : Faites mijoter tous les ingrédients dans le bouillon dashi pendant au moins une heure. Le daikon absorbera les saveurs du bouillon.

  • Quels légumes sont utilisés dans la cuisine asiatique ?
    Ces légumes sont souvent utilisés dans la cuisine asiatique pour leurs saveurs uniques et leurs textures :
    Le radis Daikon : Un radis blanc long et croquant, souvent utilisé dans les soupes et les salades.
    – Aubergine Nasu : une aubergine japonaise, souvent grillée ou frite.
    Aubergine Lao Green Stripe : une aubergine originaire du Laos.
    – Le Shiso : Une herbe aromatique qui ressemble à la menthe, souvent utilisée dans les sushis ou comme garniture.
    La courge Kikuza : Une courge japonaise au goût doux et fruité (noisette), souvent utilisée dans les soupes et les desserts.
    Mizuna : Une plante de la famille de la moutarde dont les feuilles verte ou rouge sont légèrement poivrée, souvent utilisée dans les salades ou sautée.
    Gobo ou Bardane japonaise : Ses racines noires sont souvent utilisée dans les plats mijotés ou en pickles.
  • Quand semer les choux chinois ?

    Printemps : Semez les choux chinois en mars-avril pour une récolte de début d’été.

    Fin d’été : Semez en août-septembre pour une récolte automnale, surtout pour les variétés comme le Pak-choï, plus adaptées aux cultures d’automne.

    Méthode de semis : Semez les graines directement en pleine terre, en poquets ou en lignes.

    Espacement : Laissez environ 30 cm entre chaque plant et 40 cm entre les rangs, car les choux chinois prennent de l’ampleur.

  • Quelle est la différence entre le chou Pe-tsaï et le chou Pack-choï ?

    Le chou chinois est une plante annuelle de la famille des Brassicacées, originaire d’Asie de l’Est. Il en existe plusieurs types, dont les plus connus sont le chou chinois Pe-tsaï (ou chou de Pékin ou chou chinois granat) et le Pak-choï (ou Bok-choy). Chacun possède des caractéristiques et des utilisations culinaires spécifiques.

    – Chou de Pékin (Pe-tsaï) : Il ressemble à une laitue romaine avec des feuilles allongées et serrées, d’une couleur vert pâle. Sa saveur est douce et sucrée. Il est parfait pour des salades, des soupes et des plats sautés.

    – Pak-choï (ou Bok-choy) : Ce type de chou chinois a des tiges blanches épaisses et des feuilles vert foncé. Il est croquant et légèrement piquant, souvent utilisé dans les sautés ou les soupes.

     

  • Quel type de sol est le plus adapté à la culture du melon ?

    Les melons sont des plantes assez exigeantes en matière de conditions environnementales, et il est essentiel de leur offrir un sol et un climat adaptés pour garantir une bonne croissance et une récolte de qualité.

    Le melon préfère un sol léger, sablo-limoneux, bien aéré, qui permet un bon développement des racines. Un sol lourd, argileux, qui retient trop d’eau, peut entraîner des maladies des racines comme la pourriture. Les melons ont besoin de racines profondes pour se développer correctement. Il est donc recommandé de planter les melons dans des sols d’au moins 30 à 40 cm de profondeur.

    De plus le melon préfère un sol légèrement acide à neutre, avec un pH compris entre 6,0 et 6,8. Si le sol est trop acide ou trop alcalin, l’absorption des nutriments peut être perturbée, ce qui affecte la croissance des plantes.

    Avant de planter, il peut être utile de tester le pH du sol à l’aide d’un kit de test disponible dans les magasins de jardinage. Si nécessaire, le pH peut être ajusté avec de la chaux (pour un sol trop acide) ou du soufre (pour un sol trop alcalin).

  • Quand semer le melon?

    En général, les graines de melon sont semées à l’intérieur ou en serre environ 4 à 6 semaines avant la date de plantation extérieure, lorsque les températures sont stabilisées. Le sol doit atteindre au moins 18°C pour bien favoriser la germination, ce qui se produit souvent entre la mi-avril et la mi-mai dans les régions tempérées. Au moment de repiquer les plants, un espace de 80 cm à 1 mètre entre eux est généralement recommandé. Cela permet aux vignes de s’étendre sans trop se gêner et évite que les feuilles et les fruits ne se touchent, ce qui aide à prévenir les maladies fongiques.

  • Pourquoi l’amarante est un « super-aliment » ?

    En raison de sa combinaison de protéines, de minéraux, de fibres, d’antioxydants et de son absence de gluten, l’amarante est classée comme un super-aliment. Contrairement à la plupart des plantes, l’amarante contient tous les acides aminés essentiels, y compris la lysine, qui est souvent faible dans les autres céréales. L’amarante est riche en minéraux tels que le calcium, le fer, le magnésium, le phosphore et le potassium. Elle est particulièrement précieuse pour son apport en fer (important pour prévenir l’anémie) et en calcium, ce qui est rare pour une plante. Comme le quinoa ou le sarrasin, l’amarante est naturellement sans gluten. Des études ont montré que certains composés de l’amarante, notamment les peptides bioactifs, peuvent avoir des effets anti-inflammatoires, contribuant ainsi à réduire l’inflammation chronique associée à diverses maladies.

    Elle répond aux besoins nutritionnels modernes tout en étant adaptée aux régimes spécifiques, ce qui lui confère une grande polyvalence dans l’alimentation saine.

  • Comment cultiver de la mâche ?

    La mâche (Valerianella locusta), aussi appelée « doucette » ou « salade de blé », est une salade d’hiver facile à cultiver et appréciée pour sa douceur et sa texture tendre.

    La mâche préfère un climat frais et résiste bien au froid, ce qui en fait une culture idéale pour l’automne et l’hiver. Elle a besoin d’un sol léger, bien drainé, riche en humus et légèrement humide. Un sol compact est acceptable si bien ameubli avant le semis.

    Période de semis : De juillet à octobre selon la région, en semis précoce : Pour une récolte en automne et tardif pour une récolte hivernale ou printanière.

    Méthode de semis : Tracez des sillons peu profonds (1 cm) espacés de 20-25 cm. Semez clair et recouvrez légèrement de terre fine. Tassez légèrement avec le dos du râteau.

    Entretien : Maintenez le sol humide, surtout après le semis, pour favoriser la germination et désherbez régulièrement pour éviter la concurrence des mauvaises herbes.

    Récolte : La mâche est prête environ 10 à 12 semaines après le semis, lorsque les rosettes sont bien formées. Coupez les rosettes à la base avec un couteau ou tirez délicatement pour ne pas endommager les racines.

    Variétés recommandées :

    Avec un entretien minimal et sa capacité à pousser dans des conditions fraîches, la mâche est une culture parfaite pour prolonger la production de votre potager en automne et hiver.

  • Comment cuisiner la cyclanthère ?

    La cyclanthère (aussi appelé « achocha » ou « concombre sauvage ») est un légume original, très populaire en Amérique latine, particulièrement au Pérou et en Bolivie. Son goût rappelle un mélange de concombre et de poivron vert, avec une texture croquante lorsqu’il est cru. Ce légume peut être consommé cru, sauté, farci, ou cuit dans des soupes. Les cyclanthères farcies sont l’une des façons les plus populaires de les consommer, surtout en Bolivie. La cyclanthère sautée à l’ail et aux herbes est une recette simple qui met en valeur la texture croquante et son goût léger. Elle peut être consommée crue, surtout quand elle est jeune et tendre. Elle ajoute une note de fraîcheur et de croquant aux salades. La cyclanthère marinée est une préparation idéale pour accompagner des plats de viande ou de poisson, ou même pour garnir des tacos.

  • Comment cuisiner le gombo ?

    Le gombo est un légume populaire dans la cuisine africaine, créole, et cajun, souvent apprécié pour sa texture unique et son goût délicat. Il peut être préparé de plusieurs façons : sauté, frit, en ragoût, ou même dans des soupes. Voici quelques idées simples pour cuisiner le gombo :

    Gombo sauté, manière rapide de cuisiner le gombo tout en conservant sa texture.

    Gombo en ragoût (version créole), parfait pour un repas réconfortant. Vous pouvez ajouter des crevettes, de la saucisse ou du poulet pour un plat plus consistant.

    Gombo frit (croquant et savoureux), un en-cas populaire dans la cuisine sud-américaine, croustillant à l’extérieur et tendre à l’intérieur.

    Soupe de gombo à la tomate (Gombo Gumbo), soupe inspirée de la cuisine cajun, idéale pour les amateurs de plats savoureux et consistants.

  • Quand semer les haricots ?

    Choisir le bon moment pour semer les haricots est essentiel pour obtenir une culture réussie, car ils sont sensibles aux températures froides et aux gelées.

    La température du sol doit être au minimum de 12 °C, idéalement 15 °C et plus. La période de semis est après les dernières gelées, généralement d’avril à mai selon les régions. Pour une récolte continue, il est recommandé d’échelonner ses semis, particulièrement pour les haricots nains. On peux utiliser des repères naturels (floraison du lilas ou des pissenlits) ou des techniques de réchauffement pour optimiser le semis en fonction des conditions locales.

  • Quelles plantes associer au poireau ?

    Le poireau se marie bien avec la carotte, car la carotte repousse la mouche du poireau, tandis que le poireau repousse la mouche de la carotte. Il s’associe également bien avec le céleri et les fraises.

  • Comment cultiver des poireaux?

    Le poireau est une plante exigeante, qui a besoin d’un sol riche en azote. Un apport de compost ou de fumier bien décomposé lors de la préparation du sol est bénéfique. Ensuite, en cours de croissance, vous pouvez appliquer un engrais riche en azote, comme du purin d’ortie, pour stimuler la croissance des fûts.

    Les poireaux nécessitent un sol régulièrement humide, surtout pendant les premières semaines suivant la plantation. Par la suite, adaptez l’arrosage en fonction des précipitations. Attention à l’excès d’humidité qui peut favoriser les maladies.

    Pour obtenir des fûts bien blancs et tendres, il est conseillé de « butter » les poireaux en ajoutant progressivement de la terre autour des tiges au fur et à mesure qu’ils poussent.

    En été, un paillage peut aider à conserver l’humidité du sol et à limiter la croissance des mauvaises herbes.

     

  • Quand semer les poireaux ?

    Il existe plusieurs variétés de poireaux, qui se distinguent principalement par leur saison de culture :

    Poireaux d’été : Ces variétés sont semées en hiver ou au début du printemps et récoltées à partir de la fin de l’été jusqu’à l’automne. Elles sont moins résistantes au froid.

    Poireaux d’automne et d’hiver : Ces variétés sont plus rustiques et peuvent être récoltées tout au long de l’hiver. Elles sont semées au printemps pour une récolte entre l’automne et la fin de l’hiver.

    Les poireaux peuvent être semés en intérieur ou en pépinière avant d’être repiqués en pleine terre.

  • Qu’est ce que l’épinard perpétuel?

    L’épinard perpétuel est une plante assez intéressante. Il ne s’agit pas tout à fait d’un « vrai » épinard (Spinacia oleracea), mais plutôt d’une plante apparentée, souvent appelée Chénopode Bon-Henri (Chenopodium bonus-henricus) ou épinard d’été. Cet épinard perpétuel est une plante vivace qui peut produire pendant plusieurs années, contrairement à l’épinard traditionnel, qui est une annuelle.

    Une fois installé, il ne nécessite que très peu de soin et continue de produire pendant plusieurs années (généralement entre 5 et 10 ans) et contrairement aux épinards annuels, qui montent facilement en graines avec la chaleur, l’épinard perpétuel ne monte pas en graines en été. Il est donc plus adapté aux climats chauds ou aux périodes estivales.

    Certaines personnes trouvent l’épinard perpétuel légèrement plus amer que l’épinard traditionnel, bien qu’il perde un peu cette amertume à la cuisson. Il prend un peu plus de temps pour atteindre sa pleine maturité.

    Il est particulièrement adapté aux jardins « autonomes » ou aux potagers où l’on privilégie les plantes vivaces qui nécessitent peu d’entretien.

  • Quand semer le concombre?

    Les concombres sont des plantes de climat chaud et nécessitent des températures relativement élevées pour bien pousser.

    Les graines de concombre germent mieux quand la température du sol est entre 20 et 25 °C. Un sol trop froid peut retarder la germination, voire empêcher les graines de pousser. La température idéale de l air pour la croissance des concombres est entre 18 et 30 °C. Ils sont sensibles au gel, donc il est crucial d’attendre que tout risque de gelée soit passé avant de planter en extérieur.

    Le moment optimal dépend du climat de votre région et de la manière dont vous prévoyez de cultiver les concombres (intérieur, serre, ou plein champ). Sous abri ou à l’intérieur on peux commence les semis 4 à 6 semaines avant la date des dernières gelées. Cela permet aux plants de bien se développer avant la transplantation en pleine terre. Pour une plantation  en pleine terre, on attends que le sol soit suffisamment réchauffé, généralement 2 à 3 semaines après les dernières gelées. En France, cela correspond souvent à fin avril ou début mai dans les régions tempérées, mais cela peut varier selon le climat local.

  • Quelles sont les maladies courantes de la tomate?

    Voici quelques maladies courantes de la tomate et comment les gérer :

    – Le mildiou est une maladie fongique très commune qui apparaît souvent par temps humide et frais, formant des taches brunâtres sur les feuilles et les fruits. Prévention : Utilisez un espacement suffisant entre les plants pour favoriser la circulation de l’air et limite les arrosages par le dessus. Évitez d’arroser les feuilles, arrose plutôt au pied. Traitement : La bouillie bordelaise (sulfate de cuivre) peut être appliquée de façon préventive, mais avec modération, car elle peut s’accumuler dans le sol. Il existe aussi des fongicides naturels, comme les décoctions de prêle.

    – L’oïdium ou blanc des feuilles, est un champignon qui laisse des taches poudreuses blanches sur les feuilles et freine la photosynthèse. Prévention : Plante tes tomates dans un endroit bien ventilé et ensoleillé. Utilisez du paillage pour éviter les éclaboussures d’eau du sol sur les feuilles. Traitement : Une solution naturelle consiste à pulvériser un mélange d’eau et de lait (1 part de lait pour 9 parts d’eau). Sinon, le bicarbonate de soude peut aussi être utilisé en traitement léger.

    – La fusariose et verticilliose sont des champignons qui attaquent le système racinaire, provoquant le flétrissement des feuilles. La fusariose et la verticilliose sont difficiles à traiter une fois installées. Prévention : Choisissez des variétés résistantes et utilisez une rotation des cultures. Ne replantez pas de tomates ou autres solanacées (comme les pommes de terre) au même endroit chaque année. Traitement : Il n’existe pas de traitement curatif efficace, donc une bonne prévention est cruciale.

    – La pourriture apicale (nécrose du fruit), aussi appelé “cul noir”, se manifeste par une tache noire et sèche sur le bas du fruit. Il est lié à un déséquilibre en calcium et à un stress hydrique. Prévention et traitement : Assurez un arrosage régulier pour éviter les variations d’humidité, et enrichissez le sol en calcium si besoin (par exemple, en ajoutant un peu de coquilles d’œufs broyées).

  • Quels sont les ravageurs courants de la tomate ?

    Quelques ravageurs courants et comment les contrôler :

    Les pucerons se nourrissent de la sève des plantes et peuvent affaiblir les plants de tomates. Ils attirent également des maladies en raison du miellat qu’ils produisent. Prévention : Attire les prédateurs naturels des pucerons, comme les coccinelles, en plantant des fleurs à proximité (capucines, soucis). Traitement : Une pulvérisation d’eau savonneuse (savon noir dilué dans de l’eau) est efficace pour éliminer les pucerons sans endommager les plantes.

    Les aleurodes ou mouches blanches sucent la sève des plantes et peuvent aussi transmettre des virus. Prévention : Les filets anti-insectes peuvent être utilisés pour protéger les plants. Planter des fleurs répulsives (comme la menthe ou le basilic) près des tomates peut aussi décourager les aleurodes. Traitement : Le savon noir et les pièges collants jaunes sont efficaces. Les coccinelles et les larves de chrysopes sont des prédateurs naturels.

    Les chenilles (comme la noctuelle de la tomate) peuvent dévorer les feuilles et les fruits des tomates, causant des dégâts importants. Prévention : Inspecte régulièrement les plants et enlève les chenilles à la main dès que tu en vois. Les oiseaux et les insectes prédateurs, comme les guêpes, aident à contrôler les chenilles. Traitement : La pulvérisation de Bacillus thuringiensis (Bt), une bactérie naturelle, est efficace et sans danger pour les autres insectes.

  • Comment les aubergines africaines sont-elles adaptées aux climats arides ?

    Les aubergines africaines, comme les variétés Solanum aethiopicum (aubergine goyo kumba, meketan, redd egg, striped toga… ) et Solanum macrocarpon (aubergine gbon kombara), sont bien adaptées aux climats tropicaux et subtropicaux, où elles sont principalement cultivées.

    Elles ont une capacité à tolérer :

    – la chaleur intense : Elles poussent bien dans des conditions de températures élevées, souvent supérieures à 25 °C.

    – les sols pauvres : Ces plantes peuvent s’épanouir dans des sols à faible fertilité, bien que des apports en compost ou fumier puissent améliorer les rendements.

    – une faible pluviométrie : Certaines variétés tolèrent des périodes de sécheresse, mais elles nécessitent tout de même un minimum d’eau pour la germination et la fructification.

    Conseils pour sa culture :

    1. Semis : Les graines sont souvent semées en pépinières pour protéger les jeunes plants. Après environ 3 à 4 semaines, les plantules sont transplantées dans les champs. L’espacement typique est d’environ 50 à 100 cm entre les plantes, en fonction de la variété.
    2. Arrosage : Bien que tolérantes à la sécheresse, les aubergines africaines ont besoin d’un arrosage régulier pendant la phase de floraison et de fructification. Des pratiques comme le paillage peuvent aider à conserver l’humidité du sol.
    3. Entretien : Le désherbage est essentiel pour éviter la concurrence avec les mauvaises herbes. Des traitements naturels contre les ravageurs (comme les pucerons ou les acariens) sont parfois nécessaires.
    4. Récolte : Elles atteignent leur maturité en 60 à 100 jours, ce qui permet plusieurs récoltes par an même avec des saisons de pluie courtes. Les fruits peuvent être récoltés jeunes pour une saveur plus douce ou mûrs pour un goût plus prononcé.

    Avec les changements climatiques, les aubergines africaines jouent un rôle crucial en tant que culture résiliente.

    Des projets d’agriculture durable mettent en avant leurs cultures locales pour garantir la sécurité alimentaire dans des régions vulnérables.

  • Que contiennent les gammes à semer ?

    Elles contiennent plusieurs sachets de graines issues de culture en Agriculture Biologique, 5 étiquettes en bois pour identifier vos différentes variétés, une présentation du Kit avec un calendrier pour les semis, un guide de culture reprenant les 5 plantes avec les techniques culturales associées, un sac floqué au nom de La Boite à Graines et une feuille autocollante à coller sur la boite cartonnée pour l’utiliser comme boite à graines.

  • Comment cultiver de la menthe ?

    Conditions : Mi-ombre à ensoleillé, sol frais et riche. Plantation : La menthe est vigoureuse et s’étend facilement ; il est conseillé de la cultiver en pot pour éviter qu’elle n’envahisse le jardin. Arrosage : Fréquent, surtout en été. Récolte : Dès que les feuilles sont bien développées, idéalement avant la floraison pour une saveur plus douce.

  • Pourquoi cultiver des plantes aromatiques au jardin ?

    Les herbes aromatiques sont non seulement utiles en cuisine, mais elles jouent également un rôle important au jardin :
    Elles attirent les pollinisateurs : Les fleurs de la ciboulette, de la lavande et du thym attirent les abeilles et autres insectes pollinisateurs.
    Elles sont un répulsif naturel : Certaines, comme le basilic et la menthe, repoussent les nuisibles comme les mouches blanches et les pucerons.
    Elles nécessitent un faible entretien : Beaucoup d’herbes aromatiques sont peu exigeantes et peuvent pousser dans des sols pauvres.
    En cultivant des plantes aromatiques, vous obtenez à la fois des ingrédients frais pour la cuisine et une aide précieuse pour un jardin plus équilibré et moins dépendant des produits chimiques.
    Ces plantes offrent une culture accessible même aux jardiniers débutants, avec des récoltes régulières tout au long de la saison.

  • Comment entretenir vos pieds de courgettes ?

    Un bon paillage autour des plants aide à maintenir l’humidité du sol, à limiter les mauvaises herbes, et à éviter que les fruits ne reposent directement sur la terre (ce qui réduit les risques de pourriture).
    Il n’est généralement pas nécessaire de tailler les courgettes, mais on peut pincer les jeunes pousses pour favoriser le développement de nouveaux rameaux et augmenter la production.
    Les courgettes sont gourmandes en nutriments. En cours de culture, un apport de compost ou de purin d’ortie (riche en azote) peut stimuler leur croissance.

  • Comment conserver la mâche après récolte ?

    Pour conserver la mâche après récolte tout en préservant sa fraîcheur et sa qualité, il est important de la récolter juste avant de l’utiliser ou de la stocker.

    Si vous ne la consommez pas tout de suite, évitez de laver la mâche avant le stockage, car l’humidité accélère sa détérioration. Séchez les feuilles délicatement à l’aide d’un torchon propre ou d’une essoreuse à salade pour éliminer toute humidité.

    Placez la mâche dans un sac en plastique perforé, ou un torchon, pour qu’elle respire tout en étant protégée de la déshydratation et la mettre dans le bac à légumes du réfrigérateur, entre 2 et 5 °C. La mâche peut être conservée ainsi pendant 3 à 5 jours. Après cela, elle commence à se faner et à perdre ses qualités gustatives.

    Manipulez la mâche avec soin pour éviter d’abîmer les feuilles, car les zones abîmées se détériorent plus vite et ne la stockez pas à proximité de fruits qui produisent de l’éthylène (comme les pommes ou bananes), car ce gaz accélère le flétrissement.

    En suivant ces conseils, vous pourrez profiter pleinement de la fraîcheur et des bienfaits de votre mâche même quelques jours après la récolte.

  • Qu’est ce qu’un fixateur d’azote?

    Les plantes fixatrices d’azote, aussi appelées plantes légumineuses, sont des végétaux qui ont la capacité de « capturer » l’azote atmosphérique et de le transformer en azote assimilable dans le sol, grâce à une symbiose avec des bactéries spécifiques. Ces plantes sont particulièrement utiles dans les potagers et les systèmes agricoles durables, car elles enrichissent naturellement le sol en azote, réduisant ainsi le besoin d’engrais chimiques.

    Les plantes fixatrices d’azote abritent dans leurs racines des bactéries du genre Rhizobium (et parfois d’autres bactéries symbiotiques) qui vivent dans des nodules racinaires. Ces bactéries absorbent l’azote de l’air (N₂) et le transforment en ammonium (NH₄⁺), une forme d’azote que la plante peut utiliser.

    Voici quelques-unes des plantes les plus couramment utilisées pour leur capacité à fixer l’azote :

    Légumineuses : Pois et haricots (fèves, pois mange-tout, haricots verts), luzerne et trèfle, vesce, trèfle incarnat, lentilles, pois chiches, soja,…

    Autres exemple de plantes fixatrices d’azote : Aulne, sureau, argousier,…

  • Comment semer des petits pois ?

    En général, les petits pois se sèment au début du printemps (mars-avril) ou à la fin de l’hiver dans les régions où le climat est doux.

    Vous pouvez aussi semer en automne pour une récolte précoce au printemps, à condition que la variété et le climat local le permettent.

    Les petits pois aiment les sols légers, bien drainés, et riches en matière organique. Ils n’apprécient pas les sols lourds ou gorgés d’eau.

    Préparation :

    Ameublissez le sol en bêchant sur une profondeur de 20-30 cm pour faciliter l’enracinement. Ajoutez du compost ou un amendement organique si le sol est pauvre.
    Sélectionnez une variété adaptée à votre climat et à la saison (ex. : petits pois ronds pour le froid, ridés pour les climats doux).

    Si le sol est froid ou humide, trempez les graines dans de l’eau tiède pendant 12 heures avant de les semer pour accélérer la germination.

    Semis :

    Creusez un sillon de 2 à 3 cm de profondeur dans le sol (ou jusqu’à 5 cm si le sol est léger). Espacez les sillons de 40 à 50 cm si vous faites plusieurs rangs. Disposez les graines dans le sillon, en les espaçant de 2 à 3 cm pour les variétés naines et de 5 cm pour les variétés grimpantes. Recouvrez les graines avec une fine couche de terre (2 cm) et tassez légèrement avec la main ou le dos d’un râteau.

    Entretien :

    Maintenez le sol légèrement humide jusqu’à la levée des plantules, qui intervient généralement en 7 à 14 jours, selon les conditions. Placez des filets, des rames ou des branches pour permettre aux plants de grimper. Faites-le tôt pour éviter d’abîmer les racines en installant les supports plus tard.
    Éliminez régulièrement les mauvaises herbes qui pourraient concurrencer les jeunes plants. Une fois les plants bien installés, ajoutez un paillage pour garder le sol frais et limiter les arrosages.

    Résumé des distances de plantation

    Profondeur : 2 à 3 cm

    Espacement entre graines : 2 à 5 cm selon la variété

    Espacement entre rangs : 40 à 50 cm

    Avec ces étapes, vous aurez de bonnes chances de réussir vos semis et de profiter d’une belle récolte de petits pois dans 2 à 3 mois selon la variété ! 😊

  • Comment cultiver les tubercules Helianthus ?

    Les tubercules du genre Helianthus, notamment le topinambour (Helianthus tuberosus), sont faciles à cultiver.

    Facilité de culture : Les topinambours sont très résistants et peu exigeants en termes de conditions de culture. Ils poussent dans une grande variété de sols, y compris ceux qui sont pauvres ou légèrement sablonneux. Contrairement aux pommes de terre, ils ne nécessitent pas beaucoup d’engrais chimiques ni de traitements phytosanitaires, ce qui réduit leur impact environnemental.

    Les tubercules Helianthus supportent bien la sécheresse et les climats froids. Leur système racinaire profond leur permet de puiser l’eau en profondeur, les rendant idéaux dans des régions où l’accès à l’eau est limité.

    Contrairement à la plupart des autres cultures de tubercules, les topinambours sont des plantes vivaces. Une fois plantés, ils repoussent chaque année sans avoir besoin d’être replantés, ce qui réduit les coûts en travail et en intrants agricoles.

    Conservation : Contrairement aux pommes de terre, les tubercules Helianthus sont plus sensibles aux chocs et se conservent moins longtemps.

    Effet secondaire : Leur forte teneur en inuline peut provoquer des ballonnements chez certaines personnes, ce qui pourrait limiter leur adoption généralisée.

    Avec la montée des préoccupations environnementales et la recherche de cultures résilientes face aux changements climatiques, les tubercules Helianthus pourraient jouer un rôle croissant dans l’agriculture durable.

  • Quel goût ont les tubercules Helianthus ?

    Les tubercules Helianthus, notamment le topinambour, ainsi que l’helianti, ont un goût délicat, légèrement sucré et rappelant la noisette ou l’artichaut. Ce goût unique provient de leur teneur en inuline, un type de sucre complexe.
    Contrairement aux pommes de terre, leur saveur est plus prononcée et moins neutre, ce qui les rend idéaux pour les plats où le goût du tubercule doit ressortir.

    Comparaison avec d’autres tubercules :

    • Le topinambour est plus sucré et moins amidonné que la pomme de terre. Sa texture est plus croquante lorsqu’il est cru et plus crémeuse lorsqu’il est cuit.
    • Ces derniers sont plus riches en amidon et ont une saveur plus douce ou neutre que l’igname ou manioc. En revanche, les topinambours ont une texture plus légère après cuisson.
    • Les topinambours partagent une certaine douceur, mais leur goût noisetté et leur texture fine les différencient nettement.

     

  • Comment cuisiner les aubergines africaines ?

    Les aubergines africaines sont largement utilisées dans la cuisine africaine, et leurs préparations varient selon les pays et les traditions. Voici quelques recettes populaires et leurs techniques de préparation :

    Sauce aux aubergines africaines (Recette classique d’Afrique de l’Ouest)

    Ingrédients principaux : Aubergines africaines, tomates fraîches, oignons, ail, piments, huile de palme ou huile végétale, sel, épices locales (comme le poivre de selim ou les cubes d’assaisonnement).

    • Faire bouillir ou griller les aubergines jusqu’à ce qu’elles soient tendres.
    • Les écraser ou les piler pour en faire une pâte (ou les couper en morceaux selon les préférences).
    • Faire revenir les tomates, oignons et épices dans l’huile, puis y ajouter les aubergines.
    • Laisser mijoter jusqu’à obtenir une consistance épaisse et servir avec du riz, du manioc ou du foufou.

    Aubergines farcies (Recette d’Afrique du Nord inspirée des influences locales) :

    Ingrédients principaux : Aubergines africaines, viande hachée (souvent bœuf ou agneau), tomates, épices (comme le cumin et le paprika), persil ou coriandre.

    • Couper les aubergines en deux et retirer un peu de chair.
    • Mélanger la chair avec de la viande hachée et des épices, puis farcir les aubergines.
    • Les cuire au four ou à la vapeur et servir avec du pain plat ou de la semoule.

    Aubergines grillées avec huile d’arachide : Simple et rapide : les aubergines sont coupées en deux, badigeonnées d’huile d’arachide, saupoudrées de sel, puis grillées jusqu’à ce qu’elles soient dorées et moelleuses.

    Nkate Nkwan (Soupe d’arachide avec aubergines – Ghana) : Ce plat est une soupe riche et épicée, souvent consommée avec du foufou ou du riz.

    Ingrédients : Aubergines africaines, pâte d’arachide (beurre de cacahuète), viande ou poisson fumé, tomates, piments, oignons.

    • Les aubergines sont bouillies et écrasées pour être incorporées dans la soupe.
    • La pâte d’arachide est mélangée à de l’eau chaude pour former une base crémeuse, à laquelle on ajoute les légumes et les protéines.

    Sauce d’aubergines amères (Afrique centrale, notamment Cameroun et Congo) : Ce plat est préparé avec des aubergines amères pour leur goût prononcé, mélangées à du poisson fumé, des arachides ou des crevettes séchées.

    Servie avec du bâton de manioc ou du plantain bouilli.

    Zigni avec aubergines (Erythrée / Éthiopie) :

    Bien que les aubergines africaines soient rarement l’ingrédient principal, elles peuvent être incorporées dans le zigni, un ragoût épicé à base de tomates et de viande, servi avec de l’injera (pain plat fermenté).

  • Quelles sont les pratiques de culture pour limiter les maladies sur les tomates?

    Rotation des cultures : Ne plantez pas de tomates ou d’autres solanacées au même endroit chaque année. La rotation des cultures permet de réduire l’accumulation de pathogènes dans le sol.
    Espacement et taille des plants : Laissez suffisamment d’espace entre les plants pour une bonne circulation de l’air et taille les feuilles inférieures pour limiter le risque de maladies.
    Arrosage au pied : Arrosez directement au pied des plantes pour éviter de mouiller les feuilles, ce qui favorise le développement des champignons.
    Paillage : Utilisez un paillage organique pour éviter les éclaboussures du sol sur les feuilles et réguler l’humidité.

  • Quelles fleurs semer avec des enfants ?

    Semer des fleurs avec des enfants est une activité amusante et éducative. Pour garder leur attention et leur offrir une expérience réussie, il est important de choisir des fleurs faciles à cultiver, qui poussent rapidement, et qui offrent des couleurs ou des formes captivantes.

    Des fleurs faciles et résistantes :

    • Le tournesol (Helianthus annuus) : Les enfants adorent les voir grandir si vite et devenir gigantesques. Vous pouvez organiser une compétition pour savoir lequel pousse le plus haut.
    • La Capucine (Tropaeolum majus) :  Facile à semer, elle donne des fleurs colorées et comestibles! En bonus, elle attire les insectes comme les abeilles.
    • Pois de senteur (Lathyrus odoratus) : Les graines sont grosses (faciles à manipuler pour les petites mains) et les fleurs sont parfumées, ce qui plaît aux enfants.
    • La Tagete ou oeillet d’inde : Facile à cultiver, c’est une plante qui croît rapidement. Sa floraison est longue, surtout si on coupe ses fleurs fanées au fur et à mesure, tache que l’on pourra confier à l’enfant sans problème. 

    Des fleurs interactives :

    • Cosmos (Cosmos bipinnatus) : Les fleurs légères et aériennes poussent sans effort et offrent une palette de couleurs éclatantes.
    • Mimosa pudica : facile a observer et amusant, le moindre contact sur ses feuilles les fait se refermer.
    • Lavande (Lavandula angustifolia) : Les enfants aiment son parfum et elle attire les abeilles et papillons.
    • Marguerite (Leucanthemum Superbum) : Facile à reconnaître, elle permet aussi de jouer en créant des colliers ou des couronnes.

    Conseils pour réussir avec les enfants

    1. Impliquez les enfants en les laissant choisir les fleurs qu’ils préfèrent.
    2. Utilisez des pots ou des jardinières. Cela permet un accès facile et un suivi rapproché.
    3. Créez des étiquettes avec les enfants. Ils peuvent décorer des bâtonnets pour marquer les variétés plantées.
    4. Observez avec eux et encouragez-les à noter les changements (germination, croissance, floraison) dans un petit journal de jardinage.

    Ces fleurs simples et colorées offriront une expérience joyeuse et éducative pour vos enfants, tout en embellissant votre jardin.

  • Pourquoi cultiver la rhubarbe au jardin ?

    Cultiver de la rhubarbe au jardin présente de nombreux avantages, que ce soit pour son aspect pratique, esthétique, ou même écologique.

    Une plante facile à cultiver : La rhubarbe est une plante vivace qui revient chaque année, même dans des climats froids, sans nécessiter beaucoup d’entretien.

    Une plante généreuse et polyvalente : Un pied de rhubarbe mature peut produire plusieurs kilos de tiges par an. Les pétioles (tiges) sont une base idéale pour une variété de recettes sucrées (compotes, confitures, tartes) et même salées (chutneys, sauces pour viandes).

    Une touche esthétique au jardin : Ses grandes feuilles imposantes ajoutent une belle texture aux massifs et peuvent servir de couvre-sol naturel. Certaines variétés, comme la rhubarbe rouge, apportent une touche vive et originale.

    Une plante mellifère : Si vous laissez la rhubarbe fleurir, ses fleurs attirent les pollinisateurs comme les abeilles et papillons.

    Une plante résistante : La rhubarbe est rarement attaquée par les ravageurs ou maladies, ce qui en fait une culture sans souci pour les débutants. Une fois votre pied bien installé, vous pouvez le diviser pour multiplier vos plants ou les partager avec d’autres jardiniers.

    La rhubarbe est une plante gourmande et qui apprécie les sol frais. Vous pouvez la semez en pépinière, de mars à mai, puis la planter en pleine terre au printemps ou à l’automne, avec un espacement d’1 m entre les plants. 2 à 3 pieds suffisent aux besoins d’une famille.

    Cultiver de la rhubarbe, c’est non seulement une source de fierté pour le jardinier, mais aussi une excellente façon de joindre l’utile à l’agréable en embellissant votre jardin et en profitant d’une récolte généreuse année après année.

  • Quelle préparation du sol pour cultiver des oignons?

    La préparation du sol est cruciale pour assurer une bonne croissance des oignons. Ces plantes-racines nécessitent un sol bien drainé, riche en nutriments, et sans excès d’humidité.

    Exposition : Les oignons aiment le plein soleil. Choisissez un endroit ensoleillé pour stimuler leur développement et éviter les maladies liées à l’humidité.

    Rotation des cultures : Ne plantez pas les oignons dans une parcelle ayant récemment accueilli d’autres alliacées (ail, poireaux, échalotes) pour limiter les maladies du sol comme la pourriture blanche.

    Aération du sol : Ameublissez le sol en le bêchant sur environ 20 cm de profondeur pour faciliter le développement des racines et des bulbes. Les oignons redoutent les sols lourds et argileux qui retiennent l’eau. Si votre sol est trop compact, incorporez du sable ou du gravier fin pour améliorer le drainage. Passez un croc ou une griffe pour briser les dernières mottes et aérer le sol. Cela permettra aux bulbes de mieux s’étendre.

    Enrichir le sol : Ajoutez du compost bien décomposé ou du fumier ancien (incorporé au moins 6 mois avant la plantation pour éviter un excès d’azote). Amendements spécifiques : Les oignons préfèrent un sol riche en phosphore et potassium, qui soutiennent la croissance des bulbes. Vous pouvez ajouter :

    – De la poudre de roche ou des cendres de bois pour le potassium

    – Du phosphate naturel ou de la farine d’os pour le phosphore.

    Désherbage et nivellement : Les oignons détestent la concurrence des mauvaises herbes. Nettoyez soigneusement la parcelle avant la plantation. Nivelez le sol avec un râteau pour créer une surface plane et éviter la stagnation de l’eau.

    Espacement : Tracez des sillons peu profonds (2-3 cm de profondeur) espacés de 25-30 cm pour semis ou plantation.

    Un sol bien préparé est aéré, drainé, et enrichi en phosphore et potassium. Cette préparation permet aux oignons de développer des bulbes sains et d’éviter les problèmes comme la pourriture ou les carences.

  • Quelle variété d’oignon choisir?

    Les variétés d’oignons se différencient par leur couleur, leur goût, leur période de culture et leur aptitude à la conservation. Les principales catégories sont :

    L’oignon jaune : La variété la plus commune, à chair blanche et enveloppée de fines pelures dorées. Idéal pour la cuisine quotidienne, il a un goût équilibré entre douceur et piquant, parfait pour les soupes, les sauces, ou les plats mijotés. Très bonne conservation (jusqu’à plusieurs mois). Exemples de variétés: Jaune Sturon bio, Densité Jaune, Oignon de Mazé, Paille des vertus.

    L’oignon rouge : oignon à la peau pourpre et chair rougeâtre, souvent d’une saveur plus douce que les jaunes. Consommé cru dans les salades, les burgers, ou les pickles, car son goût sucré est agréable, il est moins piquant et plus décoratif dans les plats. Sa durée de conservation est plus courte (quelques semaines à 2 mois). Exemples de variétés : Oignon de Saint-Turjan , Red Baron, Robeljia, Rouge long de Florence

    L’oignons blanc : Sa chair est blanche et sa peau fine, il a un goût doux et subtil. Il est parfait pour des recettes où un goût discret est souhaité, comme les plats rapides ou les crudités. Il pousse rapidement, mais doit être consommé rapidement après la récolte. Exemples de variétés : Blanc Musona, Blanc de Paris, Barletta.

    L’échalote (parfois confondues avec les oignons) : Plus petites, à peau fine et chair douce, elles forment plusieurs bulbes au lieu d’un seul. Elle est idéale pour les sauces ou les plats fins, leur goût est plus raffiné que celui des oignons. Elle bénéficie d ‘une excellente conservation (souvent meilleure que les oignons jaunes). Exemples de variétés : Jermor, Ronde de Jersey

    Les critères pour choisir une variété :

    Climat : Certaines variétés sont adaptées aux climats doux, d’autres tolèrent mieux le froid.

    Utilisation culinaire : Si vous privilégiez des recettes crues, optez pour les oignons rouges ou blancs. Pour les plats mijotés et conserves, préférez les jaunes.

    Durée de conservation : Les jaunes se conservent mieux pour une utilisation prolongée.

    Période de culture : Hiver : Préférez les variétés hâtives ou à jours courts. Printemps/été : Variétés classiques, à jours longs.

  • Quelle variété de navet choisir ?

    Le choix de la variété de navet dépend de plusieurs facteurs comme le climat, la période de plantation, l’objectif de culture (consommation rapide ou stockage) et les préférences gustatives.

    Les variétés hâtives sont adaptées à une récolte rapide, généralement en 30 à 60 jours après le semis.

    Exemples de variétés : Navet de Milan rouge : Racine plate, peau blanche avec une collerette rouge violacée, chair tendre. Navet de Milan à collet violet, Navet Petrowski Bio , Navet Marteau Bio

    Avantages : Croissance rapide pour une consommation immédiate, adaptées aux climats doux ou aux rotations courtes, bon choix pour les semis de printemps ou d’automne. Inconvénients : Durée de conservation limitée après la récolte, sensibles à la montaison si les températures sont trop chaudes.

    Les variétés de conservation (longue durée) se développent plus lentement (60 à 90 jours) mais sont robustes et se conservent bien pendant l’hiver.

    Exemples de variétés : Navet Jaune Boule d’Or : Variété ancienne avec une chair jaune sucrée et ferme. Navet Globe St Benoit : Bonne capacité de stockage, chair blanche tendre, saveur douce.

    Avantages : Idéales pour les récoltes d’automne et le stockage hivernal. Résistantes au gel léger, ce qui prolonge la période de récolte. Inconvénients : Nécessitent une période de croissance plus longue. Peu adaptées aux rotations courtes ou aux récoltes rapides.

  • Quel est le type de sol adapté à la culture des navets ?

    Le navet pousse bien dans un sol bien drainé, riche en nutriments, et meuble pour permettre le bon développement des racines.

    Un sol limoneux ou sableux est idéal car il facilite la croissance des racines et leur forme régulière. Les navets n’aiment pas les sols trop compacts ou mal drainés, ce qui peut entraîner des racines déformées ou des maladies.

    Un compost bien décomposé ou du fumier vieilli ajouté avant la plantation est utile.

    Les sol inadaptés :

    – Sols argileux : Ces sols peuvent retenir trop d’eau, entraînant l’asphyxie des racines et des pourritures. Toutefois, ils peuvent être améliorés par l’ajout de sable ou de matière organique.

    – Sols pauvres : Des sols très pauvres en nutriments produiront des racines petites et fibreuses.

    Le pH est un facteur important pour la culture du navet, car un sol trop acide ou trop alcalin peut réduire la disponibilité des nutriments et favoriser certaines maladies comme la hernie des crucifères.

    Neutre à légèrement alcalin (pH 6,5-7,0) : C’est la plage idéale pour une bonne absorption des nutriments essentiels comme le phosphore et le potassium.

    Que faire en cas de pH inadéquat ?

    • Si le sol est trop acide : Ajoutez de la chaux agricole (calcaire broyé) pour relever le pH.
    • Si le sol est trop alcalin : Ajoutez du soufre ou du compost acide (comme des aiguilles de pin) pour réduire le pH.
  • Quand récolter les pastèques ?

    La récolte au bon moment est essentielle pour garantir la meilleure qualité de goût et une bonne durée de conservation.

    Les pastèques n’arrêtent pas de mûrir après avoir été cueillies, donc il est crucial de les récolter lorsqu’elles sont parfaitement mûres. Voici les principaux indicateurs :

    • La vrille (petite spirale qui pousse près de la tige du fruit) change de couleur. Elle passe de vert vif à brun ou sec. Si la vrille est encore verte, le fruit n’est pas prêt.
    • La peau de la pastèque devient terne et perd son aspect brillant. La zone où le fruit repose sur le sol (appelée « tache de sol ») change de blanc ou vert pâle à jaune crème ou doré.
    • En tapant sur la pastèque, un son sourd et profond indique qu’elle est mûre. Si le son est aigu ou métallique signifie qu’elle n’est pas prête ou qu’elle est trop mûre.
    • Elle est plus lourde qu’elle n’en a l’air à cause de la forte teneur en eau.
    • La texture de la tige qui relie le fruit à la plante commence à se dessécher légèrement.
  • A quelle distance planter les pastèques?

    L’espacement est crucial pour garantir que chaque plant de pastèque ait suffisamment de ressources et d’espace pour croître. Cela varie en fonction de la variété cultivée (taille des fruits et étalement des vignes).

    L’ espacement standard est : entre les plants dans une rangée : 90 cm à 1 m  et entre les rangées : 2 à 2,5 m pour permettre un bon étalement des vignes et un accès facile.

    Ces distances garantissent une aération suffisante, réduisent les risques de maladies et facilitent les opérations comme le désherbage ou la récolte.

    Pour une culture verticale vous pouvez cultivez des pastèques en treillis (avec des petites variétés comme Lune et Etoile, Navajo Winter), l’espacement peut être réduit à 50 cm entre les plants et 1,2 m entre les rangées, car les vignes poussent en hauteur au lieu de s’étaler.

  • Quand planter les pastèques?

    La période idéale dépend du climat de votre région. Les pastèques sont des plantes de saison chaude qui nécessitent une température constante pour bien germer et croître.

    En climat chaud, on peux semer de février à mars pour une récolte estivale et en climat tempéré, d’avril à mai après les dernières gelées.

    Une température du sol d’au moins 18-21 °C est requise pour favoriser la germination. Il est préférable de démarrer les semis en intérieur 3 à 4 semaines avant la plantation en pleine terre lorsque les risques de froid sont passés.

  • Salade

    La culture de la salade est idéale pour les jardiniers débutants comme pour les plus expérimentés, car elle est facile à entretenir, pousse rapidement et peut être cultivée presque toute l’année en fonction des variétés et des conditions climatiques. Les salades incluent de nombreuses variétés de feuilles comme la laitue, la roquette, la mâche, la batavia, la romaine, et la feuille de chêne.
    Les salades se déclinent en plusieurs variétés, avec des saveurs, des textures et des couleurs variées. Voici quelques-unes des plus populaires :

    Laitue pommée : Variété classique avec une pomme dense.
    Batavia : Feuilles croquantes et légèrement ondulées, résistantes à la chaleur.
    Laitue romaine : Feuilles longues et croustillantes, souvent utilisées pour la salade César.
    Feuille de chêne : Légèrement plus tendre, avec des feuilles lobées, idéale pour une récolte feuille à feuille.
    Roquette : Salade aux feuilles fines et goût légèrement piquant.
    Mâche : Aussi appelée « douce-amère », elle a de petites feuilles tendres et un goût doux, idéale en hiver.

  • Comment améliorer ma récolte de courgette ?

    Les courgettes produisent des fleurs mâles et femelles. Les fleurs femelles donneront les fruits après pollinisation. Il est important de disposé de plusieurs pied de courgettes pour favoriser la pollinisation.
    Les abeilles et autres pollinisateurs jouent un rôle essentiel ici, mais si les courgettes ne produisent pas bien, tu peux polliniser manuellement en touchant l’intérieur de la fleur mâle avec un pinceau et en transférant le pollen sur la fleur femelle.

  • Quelle variété de courgettes choisir ?

    Les plus connues des variétés sont les suivantes, mais il existe beaucoup de variété de forme et goût pour les courgettes :

    Courgettes classiques : Comme la ‘Black Beauty’ ou la ‘Diamant’, elles donnent des fruits verts foncés allongés.

    Courgettes rondes : Idéales pour les farcis, les variétés comme la ‘Ronde de Nice’ sont productives et compactes.

    Courgettes jaunes : Les variétés jaunes, comme la ‘Gold Rush’, ont une chair douce et apportent de la couleur dans le potager.

    Courgettes grimpantes : Certaines variétés, comme la ‘Courgette de Virginie’, sont semi-grimpantes et peuvent être palissées pour gagner de l’espace

  • Quand semer les courgettes ?

    En intérieur ou sous abri : dès avril, pour les repiquer en pleine terre après les dernières gelées.

    En pleine terre : vers mai-juin, une fois que les risques de gelées sont passés et que les températures sont douces.

  • Quels sont les principaux nuisibles ou maladies rencontrés sur les choux ?

    Les choux sont sensibles à plusieurs nuisibles et maladies, notamment à cause de leur feuillage tendre qui attire de nombreux insectes.
    Les insectes : Piéride du chou (papillon blanc dont les chenilles sont de voraces mangeuses de feuilles de choux), les altises (petits coléoptères noirs qui se nourrissent des jeunes plants), pucerons, mouche du chou, escargots et limaces.
    Les maladies des choux : Hernie du chou (maladie fongique), Mildiou, Oïdium, pourriture noire, Botrytis (ou pourriture grise).
    Voici quelques conseils pour prévenir les nuisibles et maladies :

    Rotation des cultures : La rotation des cultures est cruciale pour éviter l’accumulation de maladies du sol comme la hernie du chou et la pourriture noire. Alterner les emplacements chaque année.
    Associations de plantes : Certaines plantes repoussent naturellement les nuisibles (menthe, capucine, absinthe) ou attirent des insectes utiles (coriandre, aneth).
    Protection physique : Utiliser des filets anti-insectes ou des voiles pour empêcher l’accès des nuisibles.
    Bonne aération et arrosage contrôlé : Espacer les plants pour éviter la stagnation de l’humidité, et arroser au pied pour limiter les maladies fongiques.

    Ces précautions et interventions aident à limiter les attaques de nuisibles et la propagation de maladies tout en maintenant un jardin plus naturel et sain pour les choux.

  • Quelles plantes associer avec les choux ?

    Les associations de plantes autour des choux sont très bénéfiques pour les aider à repousser les nuisibles, améliorer leur croissance et favoriser un écosystème équilibré dans le jardin. En jardinage naturel, certaines plantes agissent comme des plantes compagnes et apportent des avantages spécifiques aux choux.
    Les plantes répulsives contre les nuisibles :
    Capucine : Elle attire les pucerons et autres insectes nuisibles, détournant ainsi leur attention des choux. Elle agit comme un “piège” naturel.
    Menthe : Son odeur repousse la piéride du chou (un papillon dont les chenilles dévorent les feuilles de chou) ainsi que les altises. Attention à la contrôler, car elle peut devenir envahissante.
    Thym et romarin : Ces plantes aromatiques repoussent aussi la piéride du chou et améliorent l’arôme des légumes autour.
    Absinthe : L’absinthe est particulièrement utile contre les altises, qui attaquent les jeunes plants de choux.

    Les plantes pour attirer les insectes auxiliaires
    Aneth et coriandre : Ces herbes attirent les syrphes et les coccinelles, des insectes qui se nourrissent des pucerons.
    Achillée millefeuille : Elle attire les chrysopes, dont les larves se nourrissent de nombreux parasites du jardin.
    Bourrache : Elle attire les abeilles et autres pollinisateurs, renforçant ainsi la biodiversité et l’équilibre naturel du jardin.

    Les plantes améliorant le sol :
    Légumineuses (comme le trèfle ou le pois) : Ces plantes fixent l’azote dans le sol, un nutriment essentiel pour la croissance des choux. Elles aident ainsi à améliorer la fertilité du sol.
    Phacélie : En plus d’attirer les pollinisateurs, elle améliore la structure du sol en favorisant les microorganismes bénéfiques et en limitant le développement des mauvaises herbes.

    Les plantes favorisant la croissance des choux :
    Betterave et céleri : Ces plantes favorisent la croissance des choux lorsqu’elles sont plantées à proximité.
    Épinard : Il aide à couvrir le sol autour des choux, limitant ainsi les mauvaises herbes et gardant l’humidité pour les choux.
    En mettant en place des associations de plantes, tu crées un écosystème équilibré et durable qui te permettra d’obtenir de belles récoltes de choux, naturellement et sans produits chimiques.

  • Quand semer les choux ?

    Le moment idéal pour semer les choux dépend de la variété de chou que vous souhaitez cultiver, car chaque type a ses propres besoins en termes de climat et de durée de culture (se reporter au conseil sur les sachets de graines). Les premiers semis de printemps se font généralement sous abri pour éviter les dernières gelées. Dès que les températures sont plus douces, les choux peuvent être semer directement en pleine terre.
    Voici un aperçu pour les principales variétés :
    – Chou-fleur : Semis sous abri : De janvier à mars pour les récoltes d’été, ou en septembre-octobre pour les récoltes de printemps.
    – Chou de Bruxelles : Semis : En mars-avril, soit en pleine terre, soit en pépinière.
    – Chou pommé (chou cabus) : Choux d’été et d’automne, semis de février à avril sous abri ou en pleine terre. Choux d’hiver, semis : En mai-juin en pépinière.
    – Chou frisé (chou kale) : Semis : En avril-mai en pleine terre ou sous abri selon le climat.
    – Chou rouge : Semis : En mars-avril pour les récoltes d’été, ou en juillet-août pour une récolte automnale.
    – Chou chinois (pe-tsaï) : Semis : En juin-juillet pour une culture en fin d’été.

    Espacement : Les choux nécessitent de l’espace pour bien se développer. Prenez soin de les espacer suffisamment (40 à 60 cm entre chaque plant selon la variété).
    Rotation des cultures : Si possible, ne replantez pas les choux au même endroit chaque année pour éviter les maladies comme la hernie du chou.

    En suivant ces périodes de semis et en les adaptant à ton climat, tu devrais obtenir de beaux choux tout au long de l’année !

  • Comment améliorer ma récolte de salade ?

    Voici quelques astuces pour réussir la culture de la salade

    Rotation des cultures : Ne cultivez pas les salades au même endroit chaque année pour éviter l’épuisement du sol et les maladies.
    Semis échelonnés : Pour une récolte continue, faites des semis tous les 2 à 3 semaines. Cela vous permettra d’avoir des salades prêtes à consommer tout au long de la saison.
    Compagnonnage : La salade se plaît bien aux côtés de nombreux légumes comme les radis, les carottes, et les poireaux, qui favorisent leur croissance. Évitez de planter la salade à côté du persil, qui peut entraver sa croissance.
    Éviter les périodes chaudes : La chaleur excessive peut accélérer la montée en graines. Pour éviter cela, semez les salades dans des endroits partiellement ombragés pendant l’été, ou utilisez des voiles d’ombrage.

    La culture de la salade est rapide et permet de profiter de récoltes fraîches et régulières. Avec un minimum d’entretien, vous pouvez obtenir des feuilles tendres et savoureuses presque toute l’année !

  • Comment cultiver des salades en hiver?

    Certaines variétés de salade, comme la mâche et certaines laitues résistantes, peuvent être cultivées en hiver sous serre ou tunnel.
    Cela permet de continuer à récolter des feuilles fraîches pendant la saison froide.
    Salades rustiques : Optez pour des variétés résistantes au froid, comme la mâche ou certaines laitues d’hiver.
    Protection : Un voile d’hivernage ou une petite serre peut aider à protéger les salades des gelées.

  • Comment semer des salades ?

    Les salades peuvent être semées directement en pleine terre ou en caissettes pour ensuite être repiquées. Les semis peuvent commencer dès le printemps, lorsque le sol s’est un peu réchauffé, et se poursuivre jusqu’à l’automne. Certaines variétés peuvent être cultivées en hiver sous abri.

    Semis en pleine terre : Semez les graines en lignes peu profondes (environ 1 cm de profondeur), en les espaçant de 20 à 30 cm. Recouvrez légèrement de terre.

    Semis en caissette : Pour les variétés à repiquer, semez en caissette, puis repiquez-les lorsqu’elles ont quelques feuilles.

    Espacement : Espacez les plants de 20 à 30 cm pour leur permettre de bien se développer, mais les variétés de type « feuille à couper » peuvent être semées plus serrées.

  • Quelques idées de recettes pour conserver les tomates

    Bien maîtriser la récolte et la conservation te permet de savourer des tomates maison longtemps après la fin de la saison !

    En sauce tomate : Classique, elle peut être congelée ou mise en bocaux pour un usage tout au long de l’année.

    En confiture de tomates : Pour une touche sucrée-salée, parfaite avec du fromage ou des viandes.

    En tomates séchées à l’huile : Un délicieux ajout aux salades, aux pâtes ou en apéritif.

    En gazpacho ou soupe froide : Parfait pour utiliser les tomates bien mûres en été. Ratatouille et plats mijotés : Idéals pour utiliser des tomates en conserve pendant la saison froide.

  • Comment améliorer ma récolte de betteraves ?

    Voici quelques astuces pour améliorer la culture de la betterave :
    Rotation des cultures : Comme pour de nombreux légumes-racines, il est préférable de ne pas cultiver des betteraves au même endroit chaque année pour éviter les maladies.
    Compagnonnage : Associez les betteraves avec des plantes comme les carottes, les oignons ou la laitue, qui favorisent leur croissance.
    Récolte progressive : Pour prolonger la période de récolte, vous pouvez semer des betteraves à intervalles de quelques semaines.

    La betterave rouge est un légume polyvalent, délicieux et très nutritif.
    Elle est riche en antioxydants, vitamines et minéraux. Cultiver ses propres betteraves permet de savourer ce légume racine à tout moment et de profiter de ses bienfaits fraîchement récoltés !

  • Betterave

    La culture de la betterave est relativement facile, car cette plante-racine est assez résistante et demande peu d’entretien. La betterave rouge est cultivée pour sa racine charnue, mais aussi pour ses feuilles qui sont comestibles et nutritives. Elles aiment les sols légers, meubles et riches en matière organique. Pour obtenir de belles racines, il est important de bien préparer le sol. Les betteraves se sèment directement en pleine terre, car elles ne supportent pas bien le repiquage.

    Voici comment réussir les semis :

    Les semis de betteraves rouges se font en pleine terre dès que le sol est réchauffé, au printemps (généralement entre avril et juin). Des semis en fin d’été peuvent également se faire pour des récoltes d’automne.
    Sillons de semis : Tracez des sillons peu profonds, d’environ 2 cm de profondeur, espacés de 20 à 30 cm.
    Espacement : Les graines de betterave sont en fait des amas contenant plusieurs graines. Semez une graine tous les 5 à 10 cm, puis recouvrez-les légèrement de terre.
    Arrosage doux : Arrosez légèrement pour garder le sol humide jusqu’à la levée des plantules.

  • Comment améliorer ma récolte de carotte?

    Voici quelques astuces pour améliorer la culture de la carotte :
    Rotation des cultures : Évitez de cultiver des carottes au même endroit chaque année, afin de réduire les risques de maladies du sol.
    Compagnonnage : Associez les carottes avec des plantes comme l’oignon ou le poireau, qui éloignent certains insectes.
    Éviter l’excès d’engrais : Les carottes ne nécessitent pas d’engrais riche en azote, qui favorise le feuillage au détriment des racines.

    Avec ces conseils, vous pourrez cultiver des carottes savoureuses et bien formées ! C’est un légume qui demande un peu de patience mais qui en vaut vraiment la peine.

  • Carottes

    Les carottes ont besoin d’un sol bien ameubli et léger pour pousser droit et bien se développer. Elles peuvent être semées dès que le sol est réchauffé, au printemps (environ de mars à juin), selon les variétés et le climat local. Les semis de fin d’été peuvent donner des carottes à récolter en automne. Semer en ligne : Semez les graines finement dans les sillons. Les graines de carotte sont petites et peuvent être mélangées à du sable pour faciliter une répartition plus uniforme.
    Elles peuvent être semées dès que le sol est réchauffé, au printemps (environ de mars à juin), selon les variétés et le climat local. Les semis de fin d’été peuvent donner des carottes à récolter en automne.

  • Pourquoi faire germer des graines pour les consommer ?

    La germination des graines est une méthode très populaire pour ajouter des nutriments dans l’alimentation de manière simple et économique. En faisant germer des graines, on booste leur contenu en vitamines (comme la vitamine C et certaines vitamines B) et en minéraux, tout en rendant certains nutriments plus faciles à absorber. Les graines faciles à faire germer pour la consommation incluent les graines d’alfalfa (luzerne), de radis, de lentilles, de fenugrec et de brocoli. Beaucoup de gens aiment les ajouter dans des salades, des sandwichs ou des plats pour un peu de croquant et une touche nutritive. Faire germer des graines demande peu de matériel : un simple bocal avec un couvercle aéré (ou de la gaze) suffit souvent. Il faut juste rincer les graines plusieurs fois par jour pour éviter la moisissure et assurer une bonne hydratation.

  • Tomates

    Variétés précoces: Les variétés de tomates précoces sont assez nombreuses. Dans les plus courantes, nous pouvons citer les variétés suivantes : Matina, Promyck, Marmande, Précoce de Quimper….

  • Haricots

    Pour réussir le semis d’haricots, vous pouvez tremper les graines la veille au soir du semis. Semer début mai, en lignes ou en poquets. Un premier arrosage est conseillé lorsque les grains commencent à germer, en général au bout d’une semaine.

  • Comment utiliser l’aneth ?

    Les feuilles d’aneth, récoltées au fur et à mesure des besoins, sont finement hachées pour être utilisées en cuisine, pour aromatiser les poissons, les viandes rouges ou blanches ainsi que les salades. Délicieuse avec des pommes de terres ou du fromage frais ! Les graines sont utilisées pour la choucroute, en infusion, et dans diverses liqueurs ou confitures.

  • Quelles plantes associer avec les courgettes ?

    Bonnes associations : Haricots (qui enrichissent le sol en azote), capucine (attire les pucerons pour les éloigner des courgettes), et radis (les radis peuvent repousser certains insectes du sol).
    Mauvaises associations : Évitez de planter des courgettes avec d’autres Cucurbitacées (comme les courges ou le potiron), car elles attirent les mêmes ravageurs et maladies et peuvent se faire concurrence.

  • Comment conserver les tomates ?

    À température ambiante : Les tomates fraîchement récoltées se conservent mieux à température ambiante (environ 15-20°C). Évitez de les réfrigérer, car cela peut altérer leur saveur et leur texture.

    Conservation en cagettes : Placez-les dans des cagettes, en une seule couche, pour qu’elles ne s’écrasent pas.

    Maturation des tomates vertes : En fin de saison, si vous  avez des tomates encore vertes, vous pouvez les cueillir et les placer à température ambiante dans un endroit sombre pour les faire mûrir. Vous pouvez également les placer à côté de fruits comme des bananes ou des pommes, qui dégagent de l’éthylène, un gaz qui favorise la maturation.

  • Comment prolonger la récolte des tomates ?

    Si vous souhaitez prolonger la récolte, supprimez les nouvelles fleurs à la fin de l’été. Cela aide la plante à concentrer son énergie sur les fruits existants plutôt que sur de nouvelles tomates qui n’auront pas le temps de mûrir avant la fin de la saison. Tout au long de la croissance de la plante, taillez les gourmands (petites pousses qui se développent entre les tiges principales) peut aussi aider à optimiser la production en permettant à la plante de mieux ventiler et de concentrer ses ressources.

  • Comment préparer le sol avant de planter les tomates?

    La préparation du sol est cruciale pour une culture de tomates réussie, car elle fournit les nutriments et les conditions nécessaires à un bon développement des plants.

    Voici les étapes pour préparer un sol optimal avant de planter les tomates :

    1. Choisir un emplacement ensoleillé.
    2. Ameublir la terre.
    3. Enrichir le sol avec du compost ou du fumier.
    4. Ajuster le pH si nécessaire.
    5. Améliorer le drainage en cas de sol lourd.
    6. Pailler autour des plants après la plantation.
    7. Laisser le sol reposer.

    Une bonne préparation du sol garantit aux tomates un démarrage optimal, et les rendra plus résistantes aux maladies et stress environnementaux.

  • Comment entretenir mes plantes aromatiques ?

    Un léger paillage autour des plantes aide à maintenir l’humidité (pour celles qui en ont besoin) et à éviter les mauvaises herbes. Les herbes aromatiques ne sont pas très exigeantes en engrais. Cependant, pour les variétés plus gourmandes (comme le basilic et le persil), un apport de compost au début du printemps suffit. Certaines herbes, comme le romarin et le laurier, peuvent supporter des températures plus fraîches. Les plus fragiles, comme le basilic, peuvent être rentrées ou protégées par un voile d’hivernage si les hivers sont doux.

  • Comment cultiver du romarin ?

    Conditions : Plein soleil, sol bien drainé et plutôt pauvre. Plantation : Semis ou bouturage au printemps ou en été. Arrosage : Très faible. Comme le thym, il supporte bien la sécheresse. Récolte : Toute l’année, mais la meilleure période est juste avant la floraison pour des saveurs plus intenses.

  • Comment cultiver du persil ?

    Conditions : Exposition mi-ombre à ensoleillée, sol riche et frais. Semis : Dès le printemps et jusqu’au début de l’automne. Les graines de persil peuvent être longues à germer. Arrosage : Régulier pour maintenir le sol frais. Récolte : Pincer les tiges au ras du sol pour favoriser la repousse.

  • Comment cultiver de la ciboulette ?

    Conditions : Plein soleil ou mi-ombre, sol léger et bien drainé. Semis : Au printemps ou en automne. Arrosage : Régulier, mais sans excès. Récolte : Couper les tiges à la base.

    La ciboulette repousse rapidement et fournit des récoltes continues.

  • Comment cultiver du thym ?

    Le thym aime le plein soleil et un sol sec, voire caillouteux. Il est très résistant à la sécheresse.

    Il peut être semé au printemps ou planté sous forme de jeunes plants. Son arrosage est très faible, voire inutile une fois installé. Trop d’eau risque de le faire pourrir. Il se récolte toute l’année, mais idéalement au printemps, avant la floraison, pour obtenir une meilleure saveur.

  • Comment conserver les plantes aromatiques ?

    Il est conseillé de récolter les herbes aromatiques le matin, lorsque leur concentration en huiles essentielles est à son maximum.
    Méthodes de conservation :
    Séchage : Pour le thym, le romarin et la menthe. Suspends les tiges à l’envers dans un endroit sec et aéré.
    Congélation : Pratique pour le persil, le basilic et la ciboulette. Hacher les feuilles et les congeler dans des bacs à glaçons avec un peu d’eau ou d’huile.
    Infusion dans l’huile : Le basilic et le romarin peuvent être conservés dans l’huile pour aromatiser des huiles de cuisson ou des vinaigrettes.

  • Quelles plantes associer avec les poivrons ?

    Bonnes associations :

      • Basilic : Le basilic repousse certains nuisibles et aide à améliorer la saveur des poivrons.
      • Carottes et oignons : Ils aident à repousser les insectes nuisibles et favorisent la croissance des poivrons.
      • Haricots : Les haricots fixent l’azote dans le sol, ce qui est bénéfique pour la croissance des poivrons.

    Mauvaises associations :

    Évitez de planter les poivrons avec d’autres Solanacées (comme les tomates, les pommes de terre ou les aubergines), car elles partagent les mêmes maladies et ravageurs, ce qui augmente les risques de contamination.

  • Comment cultiver des poivrons ?

    Remplissez des petits godets de terreau de semis, et placez 1-2 graines par pot.
    Recouvrez légèrement les graines de terreau, et maintenez le sol humide jusqu’à la levée, qui prend entre 1 à 2 semaines.
    Lorsque les plants ont 4-5 vraies feuilles repiquez les en pleine terre ou dans de plus grands pots, à partir de mai-juin, après les dernières gelées.
    Placez les plants à environ 40-50 cm les uns des autres pour qu’ils aient de l’espace.
    Les poivrons ont besoin de chaleur et de soleil. Place-les dans un endroit qui reçoit au moins 6 heures de soleil par jour.
    Le poivron aime un sol bien drainé, riche en matière organique. Avant de planter, enrichissez le sol avec du compost ou du fumier bien décomposé.
    Les poivrons sont sensibles au froid. En-dessous de 12 °C, leur croissance ralentit, et les températures optimales sont entre 20 et 30 °C.
    Pour réussir les poivrons : Ne replantez pas les poivrons au même endroit d’une année sur l’autre pour éviter l’accumulation de maladies. Les poivrons adorent la chaleur. Si le printemps est frais, protégez les plants sous un tunnel ou avec un voile de croissance. Cueillez les poivrons au fur et à mesure pour encourager la plante à produire davantage. En suivant ces conseils, vous pourrez récolter de nombreux poivrons tout l’été, sucrés et savoureux, parfaits pour agrémenter tes plats ou préparer des conserves pour l’hiver !

  • Quand semer des poivrons?

    En intérieur : Les poivrons se sèment dès février ou mars, car ils ont besoin de chaleur et de temps pour se développer. Les semis doivent être maintenus dans un endroit chaud (entre 20-25 °C).

  • Comment cultiver du basilic ?

    Pour obtenir une bonne levée des graines il faut les semer à la surface du terreau, sans les enterrer profondément, car elles ont besoin de lumière pour germer.
    Il faut garder ensuite le sol humide et placer le pot ou le semis dans un endroit ensoleillé et chaud. La germination prend environ 1 à 2 semaines.
    Lorsque les plants ont 4-5 feuilles, on peux les repiquer en pleine terre ou en pot, en espaçant chaque plant d’environ 20 à 30 cm.

    Si le basilic commence à fleurir, on peux couper les fleurs pour rediriger l’énergie vers les feuilles, car les feuilles sont plus savoureuses avant la floraison.

  • Quand semer le basilic ?

    En intérieur : Dès février ou mars, à condition de maintenir une température autour de 20 °C.
    En pleine terre : À partir de mai, une fois les risques de gelées totalement écartés.

  • Quand arroser les courgettes ?

    Il faut les arroser régulièrement, surtout en période chaude, car les courgettes sont gourmandes en eau. Il est préférable d’arroser au pied des plants, en évitant les feuilles pour réduire le risque de maladies.

  • Comment reconnaître une fleur de courgette mâle d’une fleur femelle ?

    La fleur femelle possède une minuscule courgette à la base de la fleur, tandis que la fleur mâle est simplement sur une tige fine.

  • Qu’est-ce qu’un engrais vert ?

    Les engrais verts sont des cultures temporaires de plantes souvent en mélange, à croissance rapide, dont l’objectif est de couvrir le sol entre deux mises en culture d’une parcelle. Ces plantes améliorent la structure du sol avec leur système racinaire avant d’être coupées et enfouies dans la terre pour l’enrichir naturellement en matière organique. Cette technique est beaucoup utilisée en agriculture biologique afin de maintenir un niveau de production satisfaisant, tout en respectant les sols et l’environnement.

  • Quand semer un engrais vert ?

    Les mois d’aout, de septembre et d’octobre sont les plus adaptés pour les semis d’engrais verts. Le semis durant ces mois de l’année permet ensuite une couverture végétale du sol durant l’hiver.

  • Comment semer un engrais vert ?

    Semer lorsque les risques de gelées sont écartées, on peux semer l’engrais vert à la volée, sur une terre relativement fine. Il est conseiller de mélanger les graines avec du terreau dans un seau pour permettre une bonne répartition des semences lors du semis. Il est préférable de semer avant une pluie conséquente pour favoriser la germination. Le tassement de la terre après le semis favorise une bonne germination.

  • Quand faucher un engrais vert ?

    Le moment idéal pour faucher un engrais vert se situe juste avant la floraison lorsque les fleurs sont encore en bouton.

  • Pourquoi faucher l’engrais vert avant la floraison ?

    Il est idéal de faucher l’engrais vert avant la floraison c’est le moment où la plante est la plus concentrée en éléments nutritifs. Les plantes sont aussi très tendres et la décomposition dans le sol sera plus rapide que pour une fauche après floraison.

  • Quels sont les avantages d’un engrais vert ?

    Un engrais vert en plus de fournir un apport nutritif à de nombreux avantages :

    • Diminution de la pousse de certaines plantes qui sont parfois indésirables dans la parcelle ;
    • Fixation de l’azote du sol ;
    • Réduction de l’érosion du sol tout en améliorant la structure physique par l’action des racines (décompactage et aération) ;
    • Rapport coût/bénéfice très intéressant.
  • Quelles sont les variétés de tomates précoces ?

    Les variétés de tomates précoces sont assez nombreuses. Dans les plus courantes, nous pouvons citer les variétés suivantes : Matina, Promyck, Marmande, Précoce de Quimper….

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